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DES PÉPITES RESSORTENT PARFOIS DES ESTIMATIONS

Quand on parle des arts bretons, beaucoup pensent immédiatement aux faïences de Quimper ou à l’école de Pont-Aven. D’autres songent parfois à la déferlante Seiz Breur, plus rarement aux artistes des différents mouvements post 45. C’est dans cette dernière période très large et riche que « Rennes enchères Bretagne » a décidé de concentrer ses recherches pour une grande vente, début juillet.

Et les surprises ne manquent pas ! Comme souvent lors des journées d’estimations gratuites organisées à Rennes Enchères Bretagne, les pépites oubliées rejaillissent comme par enchantement. C’est notamment le cas de cette belle gouache du peintre brestois Jim Sevellec, acquise lors de son exil à Landerneau sous l’Occupation ou de cette « Jeune fille de Plougastel », faïence polychrome signée Armel Beaufils vers 1925. 

Ces estimations permettent d’éclairer d’un jour nouveau l’incroyable richesse de la production artistique bretonne. Sous les yeux experts du consultant de Rennes Enchères Bretagne, Tangui Le Lonquer, beaucoup ont dévoilé leurs souvenirs durant la matinée du 22 février.  Petite-fille d’une commerçante de faïences Ti Fanch à Audierne, l’une d’elles s’est remémoré de jeunes artistes prometteurs devant les vitrines de céramiques de Quimper Keraluc ou Henriot ou de créations plus confidentielles.

Il reste toutefois beaucoup à découvrir, en particulier, dans cette période de l’après-guerre jusqu’à la fin des années 70 pour comprendre ce qu’aura été ce « miracle breton » créatif. Rennes enchères reste à la disposition de tous pour offrir une estimation gratuite sur rendez-vous. Contact : hôtel des ventes, 32 place des lices, Rennes. 02 99 31 58 00. 

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